Je ne sais pas ce qui me prend.
Ce lundi matin est pourtant ordinaire. Je sors de ma douche.
Un coup de sèche-cheveux et l’occasion de râler contre ma coiffeuse qui a trop effilé la coupe. Sur mes petits cheveux fatigués par la saison, le résultat est plus que moyen.
Je me tartine de lait hydratant des pieds au décolleté. C’est mon anticalcaire à moi, indispensable à ma peau été comme toute l’année.
Je me demande en passant sur le haut des cuisses si je n’ai pas un peu grossi. Non, c’est juste le syndrome paranoïaque du gramme superflu.
Un coup de sèche-cheveux et l’occasion de râler contre ma coiffeuse qui a trop effilé la coupe. Sur mes petits cheveux fatigués par la saison, le résultat est plus que moyen.
Je me tartine de lait hydratant des pieds au décolleté. C’est mon anticalcaire à moi, indispensable à ma peau été comme toute l’année.
Je me demande en passant sur le haut des cuisses si je n’ai pas un peu grossi. Non, c’est juste le syndrome paranoïaque du gramme superflu.